Et s'adosser
tissé sur blanc sur le mur en face de l'étendue revenue vers soi
vide
peu de place une longue distance comme une chevelure comme un long manque
l'étendue du regard dans la chambre dans le nombril
plié
traversé
d'un autre monde pesant d'un cil
larme bat
mais vers où
étincelles nuit une nouvelle fois
vers le corps vers l'étendue de ta main
Albertine Benedetto / Mémoires du Rhin
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<<Poésie d'un jour Devant le fleuve La vieille femme devant le fleuve elle
prend tous les bateaux assise devant le fleuve Vater Rhein tous les bateaux
depu...
Il y a 6 heures
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