[ les morts ont tous la même peau]
Boris Vian
Sur les marches, jamais nous ne prévoyons le regard,
C'est à dire que l'on se croise d'abord avec les pieds.
La dispense d'hauteur - longue comme nos chevelures
et nos corps marqués de nuit
donnent à nos distances - - l'eau claire et droite d'un baiser
Ainsi puis-je te rendre l'image
cerclée de deux.
(réécriture d'un texte original de Chloe Danthes)
9 juillet 1932 | Giuseppe Ungaretti, Carnets italiens
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Éphéméride culturelle à rebours Ph., G.AdC Naples, le 9 juillet 1932
LOINTAINS DE PARADIS PERDU Souvenirs et songes mûrissent l’avenir. Même
éveillés, nous...
Il y a 2 semaines