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Si je respire mal
C’est qu’il y a ta disparitionDouble......aucune.........main
.................Seule
A l’envers des villes comme à l’envers des direLes pas.........les chaises.........les tables
.........Les liens sont avantJ’étouffe
Le peu de sang.......peu
..........peu...........peu Les murs pleins .......................Bien assez,
assez
Mes yeux sont là
Blanc
.......... -
Contre blanc
Blanc
Blanc
Blanc.........Comme quelque chose d'autre que nous
Tu te souviens de la voix recréée hors de toi
L'enfance au bout des doigts ...... la peau doublée plus loin
Plus loin l'image de tes yeux derrière tes yeux
Clos
S'absente .... tu étais vol au dessus
Des mares de glace proche du sommeil
Vol au dessus statues ravies vite défaites
Tombées
Les traces au seuil portes ouvertes
Portes fermées comme l'irrigation séculaire
De ta langue pulmonaire
Charbon
Remué et charrié jusque dans le ventre
A l'abri de l'écume tu étais toi
Et toi à l'aller sombre ..... toi dormant
Scelle le temps
Etoile dessus la maison
-Ouverte - .......la clé partagée de tous
Donne à la jambe légère
Donne un champ scellé...... lumineux de notre Etre
Aller comme dire sans hâte
Une certitude ...... nous nous sommes connus
Temps tabisé ......langues de padines
Non encore respirées
Chairs à l'oblique totem pole
Des plaines des plaines .... nos mains
Tenues d'une plume rouge palpitent
L'eau claire longue d'un baiser
Branches aux heures de ton dos......... croisées lentement
Enracinées, prises à la naissance de ton cou
Terminaisons rêveuses
Portent l’humide des noces de feuillages.......et .... vertes
Suspendent le ventre creux d’une réaction de peau
Dedans......l’eau à l’argile faisant
Dehors les matins clairs
Caressent la mémoire par les vagues montrées ....... voix audibles
Supportent la déformation d’un nous...... défait du monde