[Que je sois dans cette plaine ceinte de pierres, que ces pierres soient là ne revêt aucun mystère.]
Ces pierres me regardent
Elles me regardent moi
Un emprunt de regard
Je ne regarde pas la mer
Non, pas la mer !
Je regarde les pierres
Ces pierres me ramènent à la plaine
Nous – les pierres et moi – sommes pleines
Reconnaissantes
Dressées
Couchées
Confondues
Enfin.
Albertine Benedetto / Mémoires du Rhin
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<<Poésie d'un jour Devant le fleuve La vieille femme devant le fleuve elle
prend tous les bateaux assise devant le fleuve Vater Rhein tous les bateaux
depu...
Il y a 4 heures
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