[J'ai retrouvé dans notre cabane en bois un peu de la soie de nos transformations]
Plus tard - nous avons grandi cet espace
de la distance de nos mains -plus grande que nos errances, nos déchirures
entourées, poussées hors-de-soi -
Nous nous sommes manqués.
Lors - quand nous levons les yeux à hauteur des genêts -
nous mesurons l'illusion, racines à ras-de-terre -
A l'intervalle - nous croyons -images sans lèvres où s'aère
une prophétie à l'abandon
L'oeil simplement revenu à soi.
Albertine Benedetto / Mémoires du Rhin
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<<Poésie d'un jour Devant le fleuve La vieille femme devant le fleuve elle
prend tous les bateaux assise devant le fleuve Vater Rhein tous les bateaux
depu...
Il y a 5 heures
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