Et s'adosser
tissé sur blanc sur le mur en face de l'étendue revenue vers soi
vide
peu de place une longue distance comme une chevelure comme un long manque
l'étendue du regard dans la chambre dans le nombril
plié
traversé
d'un autre monde pesant d'un cil
larme bat
mais vers où
étincelles nuit une nouvelle fois
vers le corps vers l'étendue de ta main
Frédéric Ohlen / Benjamin Bozonnet / Celles qui demeurent
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beau à Ouessant sauf en pleine tempête quand les mouettes renoncent au ciel
s’abatt...
Il y a 1 jour
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