Ne résiste pas à la nuit quand elle porte ton corps
Premier et dernier - avec un souffle - pris entre toi et moi
Quand elle rend à nos langues leur correspondance
Nous sommes à quai devant l’orbe clair
Après la guérison nos yeux-lames suffoquent encor
Et amarrés, lèchent nos exceptions
(Nous pleurons des mondes
Ma main derrière ton œil
Le sexe béant).
Guillaume Dreidemie / Retour
-
<<Poésie d'un jour " ...au seuil du Temple..." Photo G.AdC Voici des
arbres, voici des fruits Avant la morsure du monde Vivre dans cette ombre
Où germent n...
Il y a 7 heures
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire