Comme passées de la matière à l'ombre
Disparues comme séparées du regard, des fleuves glissants des pierres
Evacuées
Un verbe suffit – d'avoir fait
Nos intermédiaires – maintenant longues chevelures
Fourchent – et principalement
Nos mains s'airent
Seules
Et Pareilles
Pareilles et seules
Reviendrons-nous en mars ?
[octobre 2006-octobre 2008]
Frédéric Ohlen / Benjamin Bozonnet / Celles qui demeurent
-
<< Poésie d'un jour Peinture de Benjamin Bozonnet Il fait donc toujours
beau à Ouessant sauf en pleine tempête quand les mouettes renoncent au ciel
s’abatt...
Il y a 1 jour
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire