Tu te souviens de la voix recréée hors de toi
L'enfance au bout des doigts ...... la peau doublée plus loin
Plus loin l'image de tes yeux derrière tes yeux
Clos
S'absente .... tu étais vol au dessus
Des mares de glace proche du sommeil
Vol au dessus statues ravies vite défaites
Tombées
Les traces au seuil portes ouvertes
Portes fermées comme l'irrigation séculaire
De ta langue pulmonaire
Charbon
Remué et charrié jusque dans le ventre
A l'abri de l'écume tu étais toi
Et toi à l'aller sombre ..... toi dormant
Scelle le temps
Guillaume Dreidemie / Retour
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<<Poésie d'un jour " ...au seuil du Temple..." Photo G.AdC Voici des
arbres, voici des fruits Avant la morsure du monde Vivre dans cette ombre
Où germent n...
Il y a 21 heures
2 commentaires:
A part te dire que c'est franchement superbe, que tu maitrise une langue qui vient du dedans, un dedans pré humain et très lointain, et que tes mots de mémoires m'ont crâmé les ailes, je ne vois pas quoi te dire d'autres.
bises juliette.
le soleil, rien que pour toi.
le soleil pour toi aussi
bises oslo
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