[ les morts ont tous la même peau]
Boris Vian
Sur les marches, jamais nous ne prévoyons le regard,
C'est à dire que l'on se croise d'abord avec les pieds.
La dispense d'hauteur - longue comme nos chevelures
et nos corps marqués de nuit
donnent à nos distances - - l'eau claire et droite d'un baiser
Ainsi puis-je te rendre l'image
cerclée de deux.
(réécriture d'un texte original de Chloe Danthes)
Harry Szpilmann / La vie fragile
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< Poésie d'un jour Palestine Sunrise: photo de Harry Szpilmann / source
Poème, mer ventilant les ajours de chaque vertige et de tout vacillement.
Des sylla...
Il y a 19 heures
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