Il disait : nous avançons
Et nous piétinons les allées blanches – celles des yeux d’autres
Si doux pris de hauteur - nous étions nus
Il y avait la pente de circulation des chirurgies ambulatoires
Toujours il attendait nos poussées quelque chose d’obligatoire entre
Morose et à-venir ; nous étions pleins de libération
Nous-y-croyions et encore
Il y a un temps que nous figeons des rêves sans pâlir
Noirs nous sommes de ces pierres transportées que nous posons-
Là !
Car rien ne change – l’allée est toujours grasse d’herbes hautes
Et c’est à peine si nous nous apercevons.
Mais cette distance n’est pas quelconque et nous vainc à l'Identique
Ulrike Bail / point invisible / wie viele faden tief
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<<Poésie d'un jour Portrait de Ulrike Bail / Sources : Googol images
Wabenstich die applikation der wolken vernäht waben zu honigräumen
gespiegelt gesmokt ...
Il y a 3 heures
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